Rébénacq est à 30 minutes de Pau, 20 minutes d’Oloron, 25 minutes de Nay et 50 minutes de Lourdes. Les premières crêtes montagneuses apparaissent au niveau d’Arudy à 15 minutes au sud.
Sur la place de la mairie, commerces de base (alimentations, journaux-tabac, café-bar, restaurant, Agence postale communale). Autres commerces à Arudy ou Gan (10 mn en voiture).
Découvrir Rébénacq
Rébénacq est situé au creux d’un vallon, traversé par un torrent, le Néez, et entouré de collines utilisées jadis pour les transhumances entre la vallée d’Ossau et les plaines de Gascogne. Les places de la mairie et de l’église forment le centre commerçant (café restaurant, alimentations, presse, tabac, agence postale) : elles permettent d’admirer déjà plusieurs belles façades du XVIII et XIXe siècles. Des producteurs fermiers vous proposent leurs spécialités.
Les berges du Néez
La présence d’une pisciculture en amont du village est un indicateur de la pureté des eaux du torrent. Ses berges offrent des espaces de promenade avec aires de pique-nique. Les pêcheurs peuvent taquiner à leur aise la truite fario. Au fil de la balade, merle d’eau douce (cincle plongeur) ou bergeronnette des ruisseaux (de passage lors des migrations) apparaissent à l’occasion.
Rébénacq, l’ouverture de la pêche
Le coeur historique du village : la place de la Bielle
Rébénacq a été fondé en 1347, le coeur historique, son plan avec grande place centrale sont typiques de toute une série de bastides, voir section Histoire
Autour de la place, les maisons régulièrement espacées forment un ensemble homogène, avec toutefois des variantes intéressantes à découvrir : depuis le XVIIe siècle, la façon d’agencer et de décorer les encadrements en pierre des portes se modifie, de même que les vantaux ou les ferronneries (notamment les heurtoirs). Voir la section Patrimoine.
Les moulins sont les témoins actuels d’une facette de l’activité économique du XVIe au XXe siècle. Le Néez ou de simples petits ruisseaux qui parcourent la commune sont ponctués de pittoresques lavoirs publics ou privés : les plus importants sont couverts (à partir de 1903), mais d’autres sont de simples aménagements avec quelques pierres plates de grès, les « labasses ».
